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15. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIII. Que les lois civiles défendent de danser, et d’aller à la Comédie les jours des Fêtes. » pp. 67-75

« Illud etiam præmonemus, ne quis in legem nostram, quam dudum tulimus, committat : nullum solis. die populo spectaculum præbeat, nec divinam venerationem confecta solennitate confundat. » C’est-à-dire par la danse, ou par la Comédie, ou par quelque autre divertissement profane, « et en causant par ce moyen de la confusion, et du désordre dans nos solennités ». […] « Illud etiam præmonemus, ne quis in legem nostram, quam dudum tulimus, committat : nullum solis. die populo spectaculum præbeat, nec divinam venerationem confecta solennitate confundat. » Item l. 5. eod. tit.

16. (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209

Les« Longe pulchrius magisque regium animum præ se ferre civilem, et compositum quam eximiam corporis vestem. […] « Longe pulchrius magisque regium animum præ se ferre civilem, et compositum quam eximiam corporis vestem.

17. (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — IDEA SERMONIS. »

Ob sanctitatem ad quam tenemur.

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