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195. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93

Cette Ville est trop éclairée, trop amoureuse des belles choses, pour accorder son estime à de pures frivolités.

196. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390

On disait des Ouvrages du dernier : C’est une prairie émaillée de fleurs, où l’on aime à respirer un air pur ; sa Muse ressemble à une honnête-femme  : & du premier : La Muse d’Aristophane ressemble à une femme perdue ; c’est une bacchante, pour ne rien dire de pis, dont la langue est détrempée de fiel.

197. (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200

Quoi une sainte, pure comme un Ange, qui avait reçu de Dieu un esprit solide et une horreur extrême de tout ce qui blesse la pudeur faillit à se perdre sans retour, si Dieu ne l’eût regardée des yeux de sa miséricorde, et n’eût ouvert les siens sur l’abîme où elle se précipitait, et vous qui êtes plus faibles que des roseaux, plus fragiles que du verre, vous prétendez que vôtre chasteté ne court aucun risque en vous enivrant de ces folies.

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