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204. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401

Cette conduite de l’archevêque de Rouen prouve, à l’évidence, que les prêtres mal conseillés ne veulent reconnaître et consulter aucune autre autorité que la leur, et qu’ils évitent avec le plus grand soin de faire aucune démarche qui tendrait à les ranger sous l’autorité du souverain légitime.

205. (1731) Discours sur la comédie « PREFACE » pp. -

Leurs acclamations faisaient voir qu’ils étaient convaincus et que mes paroles leur plaisaient ; mais leurs larmes me prouvaient qu’ils étaient touchés.

206. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100

« L’affabulation de l’Œdipe ne prouve rien, parce qu’elle est postiche, & qu’elle ne sort point de l’action. […] Nous aurons lieu de donner vers la fin de ce volume une note qui prouve que la Ville de Marseille a encore des Citoyens qui se font honneur de cette pureté de mœurs de leurs ancêtres. […] « Les Fondateurs d’Ordres Religieux, dit-il, n’eurent que de bonnes intentions, en formant les divers Instituts qu’on trouve dans le sein de l’Eglise ; & il n’y eut pas jusqu’aux habits qu’ils donnerent à leurs disciples, & que le monde juge bizarres, qui ne prouvent leur sagesse & leur piété. […] La vraisemblance de ces allusions est prouvée par l’histoire, ou fondée sur des conjectures.

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