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87. (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur de Nemours » pp. -

Un jour que dans l’humide plein Phœbus allait reprendre haleine, Et chasser de son œil riant La nuit de ceux qui n’ont lumière Que lors qu’il finit la carrière Qui leur commence l’Orient ; Je vis au séjour qui bannit les vices, Et au Paradis des esprits, Une lumière de merveille, Une Musique nonpareille, Qui environnait ce pourpris.

88. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9

Il faudra donc que nous passions pour honnêtes les impiétés et les infamies dont sont pleines les comédies de Molière, ou qu’on ne veuille pas ranger parmi les pièces d’aujourd’hui, celles d’un auteur qui a expiré pour ainsi dire à nos yeux, et qui remplit encore à présent tous les théâtres des équivoques les plus grossières, dont on ait jamais infecté les oreilles des Chrétiens.

89. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IX. La Comédie donne des leçons de toutes les passions. » pp. 18-21

Il sort plein de ces images si conformes à ses penchans, & de l’yvresse qu’elles lui causent.

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