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350. (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351

Instruisons-nous dans cette école si noble et si digne des enfants de Dieu, si nous nous plaisons à la beauté et à la magnificence des spectacles, désirons de voir cette sagesse éternelle, qui atteint avec force depuis une extrémité du monde jusqu’à l’autre, et qui place avec tranquillité chaque chose dans l’ordre où elle doit être ; car qu’y a-t-il de plus admirable que cette puissance spirituelle et invisible qui a formé et qui gouverne tout ce monde corporel et spirituel ?

351. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Que prouve la présence du Souverain Pontife à ces Spectacles, où le Père le place si noblement ?

352. (1733) Theatrum sit ne, vel esse possit schola informandis moribus idonea « Theatrum sit ne, vel esse possit schola, informandis moribus idonea. Oratio,  » pp. -211

N’est-ce pas à ce dessein que la Muse du Theatre parcourt d’un œil curieux les maisons, les camps, les places publiques, le Barreau, la Cour, les Palais des Rois, d’où elle tire, sans distinction, Artisans, Soldats, Négocians, Juges, hommes de Cour, Potentats, & Souverains, qu’elle cite au Tribunal redoutable du Parterre ? […] Elle n’ose d’ordinaire exposer les vertus & les vices que séparément & en leur place.

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