« Dans une grande ville pleine de gens intrigants, désœuvrés, sans religion, sans principes, dont l’imagination dépravée par l’oisiveté, la fainéantise, par l’amour du plaisir, et par de grands besoins, n’engendre que des monstres, et n’inspire que des forfaits ; dans les grandes villes où les mœurs et l’honneur ne sont rien, parce que chacun dérobant aisément sa conduite aux yeux du public, ne se montre que par son crédit, et n’est estimé que par ses richesses ; la Police ne saurait trop multiplier les plaisirs permis, ni trop s’appliquer à les rendre agréables, pour ôter aux particuliers la tentation d’en chercher de plus dangereux. […] « Je n’aurais rempli qu’imparfaitement ma tâche, si je ne cherchais sur notre situation particulière, ce qui résultera de l’établissement d’un Théâtre dans notre ville.
La taille, l’air, & la mine ont leur prix & leurs prejugez separez, & il y a un sçavoir particulier à bien joindre les PartiesSed ponere totum nesciet. […] Au lieu que dans une Entrée de plusieurs la memoire joüe autant que l’adresse, & la disposition des particuliers habiles & vigoureux est étoufée sous la pesanteur des mols & des ignorants. […] Cette division à mon sens ne convient point trop mal à nos deux manieres de Dance, à l’ordinaire ou à la commune dans les Bals publics & particuliers, & à la forte ou à l’extraordinaire, telle qu’on la pratique dans les Balets. […] L’homme particulier, le Bourgeois, le Miserable, & generalement tous les Mortels, ont dans leur habit une espece de caractere exterieur, qui en fait connoître la dignité & le merite. […] Les unes & les autres conviennent entre-elles, en ce qu’elles doivent estre employées à propos, & conformément à l’Idée ou generalle ou particuliere du Poëte, & qu’il n’en faut jamais user, si elles ne contribuent quelque chose de particulier au Tout.
Contenant les sujets particuliers. […] Debreyne, docteur en médecine de la faculté de Paris, professeur particulier de médecine pratique, prêtre et religieux de la Grande-Trappe (Orne), Paris, Poussielgue-Rusand, 1845, viii-532 p. […] Contenant les sujets particuliers. […] Discours particulier, où l’on voit les raisons de ceux qui ont écrit dépuis peu pour la condamnation des Theatres, & pour leur defense, Avec quelques Avis pour leur reforme », p. 232-248). […] XIV, « Des Reiglemens et Avertissemens particuliers », p. 529-634, articles XXVII [contre les danses], XXVIII [contre les mômeries, bastelleries, comédies, tragédies] et XXIX [contre les jeux] et leur censure, p 621-625.