/ 334
308. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32

offre le même trouble. » Est-ce garder le secret de la confession, et donner de la confiance au Frère Arsene, de nommer les pénitents et déceler leurs faiblesses.

309. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Mais s’il faisait réflexion que tous les Chrétiens sont des Prêtres qui conjointement avec Jésus-Christ, le Prêtre éternel et le Souverain Pontife des vrais biens, doivent offrir à Dieu un seul et même sacrifice, qu’ils sont eux-mêmes le temple vivant où Dieu veut habiter, et qu’il n’y a pas un moment dans leur vie qui ne soit pour eux d’un prix infini par la sainteté de leur vocation.

310. (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -

Qu’ils doivent prendre garde que ce qu’ils offrent à Dieu, soit bien acquisCassiodorus épitre 7. […] Ainsi je quitte Dieu, si j’entre dans le Capitole, ou dans le temple de Sérapis pour y offrir des sacrifices, ou pour y rendre des adorations ; comme aussi si je vais au Cirque, ou au Théâtre pour être spectateur de ce qui s’y fait. […] Lorsqu’elle apportait à l’Eglise son petit panier plein de viandes qu’elle devait offrir à l’honneur des saints Martyrs, pour en goûter, et donner le reste aux pauvres, elle ne réservait pour elle que fort peu de vin bien trempé, afin d’en user très sobrement. […] « Nous offrons, dit S.  […] C’est pourquoi nous conjurons tant les Pasteurs, que les Prêtres, d’avoir soin de bannir de l’Eglise par la sainte autorité qu’ils en ont reçue, tous ceux qu’ils trouveront attachés à ces folies ; et de ne pas permettre que ceux qui observent ces coutumes des Païens, aient part à ce qui est offert sur l’Autel sacré ; car quelle union, et quel accord y a-t-il entre les démons, et Jésus-Christ ? 

/ 334