Aussi quand pour avoir été rappelé trop souvent sur la Scène par le peuple, sa voix devint rauque et désagréable, il fut obligé de se faire assister d'un jeune garçon qui chantait les vers qu'il lui fallait représenter, et d'un Musicien qui touchait quelque instrument, et ne se réserva que la Danse qui se trouvait plus libre, ne s'occupant qu'à faire ses postures ingénieuses qui représentaient le sens des paroles, en quoi il était merveilleux, ce qui passa depuis en coutume.
Comme il ne tâchait qu’à faire naître l’amour divin dans les cœurs, il était obligé d’avoir cette tolérance et cette douceur.
Je n’ai pu lire votre lettre à M. d’Alembert, sans me croire obligé de la relire une seconde fois, et même une troisième.