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230. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197

Le dieu que nous nommons Voltaire Les grecs l’appeloient Apollon. […] Ce ne fut pas le premier titre de cette piece, elle fut d’abord appellée Pandulphe ; quand la défense de la jouer fut levée on la nomma l’Imposteur, le faux Dévot, enfin Tartuffe, & tout le monde aujourd’hui donne ce nom aux gens dévots Les uns le sont trouver chez le Nonce du Pape.

231. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202

N’auroient-ils pas fait plus sagement de ne pas le nommer ? […] On ne l’étudie point pour se former, on ne le lit que pour s’amuser, on ne le nomme que pour rire.

232. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174

Joignons à la douceur de venger nos parents La gloire qu’on remporte à punir les Tyrans. » Les conjurés sont si furieux qu’ils ne peuvent entendre nommer le Prince : « Plût aux Dieux que vous-même eussiez vu de quel zèle Cette troupe entreprend une action si belle ! […] La Grèce adore enfin ce que tu nommes crime.

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