Le dieu que nous nommons Voltaire Les grecs l’appeloient Apollon. […] Ce ne fut pas le premier titre de cette piece, elle fut d’abord appellée Pandulphe ; quand la défense de la jouer fut levée on la nomma l’Imposteur, le faux Dévot, enfin Tartuffe, & tout le monde aujourd’hui donne ce nom aux gens dévots Les uns le sont trouver chez le Nonce du Pape.
N’auroient-ils pas fait plus sagement de ne pas le nommer ? […] On ne l’étudie point pour se former, on ne le lit que pour s’amuser, on ne le nomme que pour rire.
Joignons à la douceur de venger nos parents La gloire qu’on remporte à punir les Tyrans. » Les conjurés sont si furieux qu’ils ne peuvent entendre nommer le Prince : « Plût aux Dieux que vous-même eussiez vu de quel zèle Cette troupe entreprend une action si belle ! […] La Grèce adore enfin ce que tu nommes crime.