/ 126
26. (1675) Traité de la comédie « XI.  » pp. 288-289

Un Chrétien qui sait ce qu'il doit à Dieu, ne doit point souffrir dans son cœur aucun mouvement, ni aucune attache de cette sorte sans la condamner, sans en gémir, et sans demander à Dieu d'en être délivré ; et il doit avoir une extrême horreur d'être lui-même l'objet de l'attache et de la passion de quelque autre personne, et d'être ainsi en quelque façon son idole; puisque l'amour est un culte qui n'est dû qu'à Dieu, comme Dieu ne peut être honoré que par l'amour. « Nec colitur nisi amando.

27. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

Nec tunc quidem absolutione potiatur, cum aliud quam casta esse non possit.  […] Nec cuiquam aut delectationis desiderio ; erudita fœminea musicæ artis studio liceat habere mancipia. […] « Cum saltatrice ne assiduus sis : nec audias illam, ne forte pereas in efficacia illius : virginem ne conspicias, ne forte scandalizeris in decore illius. […] Dona iniquorum non probat altissimus nec respicit in oblationes iniquorum.  […] « Cum saltatrice ne assiduus sis : nec audias illam, ne forte pereas in efficacia illius : virginem ne conspicias, ne forte scandalizeris in decore illius.

28. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVII.  » pp. 486-488

Bernard, étant un esprit de vérité, ne peut avoir de part avec la vanité du monde. « Sed nec erit ei unquam pars cum mundi vanitate, cum veritatis sit spiritus.

/ 126