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263. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239

 » Le soldat respire un moment ; et après cette courte suspension il revient à la charge, de plus belle : P. 26.

264. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40

L’expression, qui, comme plusieurs autres de ce caractère, que ce bouffon met à tout moment dans la bouche de ses acteurs, ne signifie rien dans la phrase ; ces vilains termes, ce langage aussi plat qu’irréligieux ne sont que déceler un cœur dépravé, in abundantia cordis os loquitur ; & la mauvaise habitude qui, à tout propos, le séme dans la conversation sans esprit & sans goût.

265. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Suites des diversites curieuses. » pp. 138-172

Cet usage paroît risible parce qu’on n’y est pas accoutumé ; il l’est moins que la fastidieuse répétition des titres qu’on donne aux grands, non seulement dans les audiences publiques, mais à tout moment, toutes les fois qu’on leur parle & à chaque mot qu’on leur dit : amis, parens, étrangers, domestiques, comme un écho qui répete le même mot, comme une cloche, comme un tambour, qui à chaque coup rend toujours le même son.

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