Page 49 M. de Sénancourt reproche le titre même de l’ouvrage à l’auteur, qu’il accuse jésuitiquement de n’avoir proclamé qu’en apparence et avec hypocrisie, les maximes pures, chrétiennes et évangéliques invoquées dans le livre des Comédiens et du Clergé.
De grandes tirades, des Vers à prétention, un nombre infini de maximes, certain entortillage de mots, & un langage affecté ; tout cela nous tient lieu du sublime.
Il est vrai encore qu’au grand Séminaire, le célèbre Supérieur qui le gouverne, le plus instruit des maximes du monde, le plus lié avec tout ce qu’il y a de plus grand à la ville et à la Cour, a jugé à propos depuis plusieurs années, de supprimer le théâtre, et malgré toutes les instances qu’on a pu lui faire, n’en a jamais voulu permettre le rétablissement.