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169. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230

Les Académiciens y lisent leurs ouvrages, après la semonce de Mr. le Directeur, ensuite on distribue les prix ; savoir : à l’Auteur du meilleur ouvrage & aux deux Curés des filles qui ont été jugé les plus vertueuses de la Paroisse, & les plus digne de la couronne, lesquels doivent le leur livrer lorsqu’elles se marieront & en faire mention dans le Contrat de mariage.

170. (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200

Là se forment des intrigues, des liaisons secrètes, d’où procèdent des mariages dont on a tout le loisir de se repentir, quelle licence effrénée ne s’y donnent pas les yeux, les oreilles, la langue, les mains, l’imagination.

171. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Suites des diversites curieuses. » pp. 138-172

La comédie se nourrit des chagrins domestiques, des infidélités d’une femme, de la coqueterie d’une fille, de la désobéissance d’un fils, d’un mariage de passion, de la friponnerie d’un valet. […] Il inspire tous les mauvais principes d’orgueil, de vengeance, d’ambition, d’amour propre, d’indépendance ; il dégoûte de la sainteté du mariage, de la légitime population, du bon emploi des richesses ; il excuse, il loue, il inspire le luxe, le faste, l’oisiveté, la galanterie, la molesse, l’adultere, le divorce, l’indécence, les mauvais discours ; on peut s’en convaincre dans tout le cours de cet ouvrage.

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