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523. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276

Il n’est que trop de Pièces, dont les Scènes mal liées semblent éxcuser l’Opéra-Bouffon.

524. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VI. Suite de la Danse. » pp. 140-167

Un usage toléré borne mal à propos ces loix au temps du service divin ; on ferme les yeux sur ce qui se passe après les offices, comme si toute la journée n’étoit pas consacrée à Dieu, & destinée à de bonnes œuvres ; comme si les préparatifs n’emportoient pas le temps du service, & n’empêchoient pas même d’y aller. […] Les artifices du démon sont bien représentés par les renards, le feu de la volupté par les flambeaux allumés, l’étendue du mal par le ravage immense de toute la moisson qui fut consumée, qui annonce le feu éternel.

525. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE V. De la Parure. » pp. 107-137

Affecter la parure, c’est mal connoître la beauté, & ne pas ménager les intérêts de sa gloire. […] Il ne les blâme pas moins, & c’est mal servir son goût que de se les permettre.

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