Il n’est que trop de Pièces, dont les Scènes mal liées semblent éxcuser l’Opéra-Bouffon.
Un usage toléré borne mal à propos ces loix au temps du service divin ; on ferme les yeux sur ce qui se passe après les offices, comme si toute la journée n’étoit pas consacrée à Dieu, & destinée à de bonnes œuvres ; comme si les préparatifs n’emportoient pas le temps du service, & n’empêchoient pas même d’y aller. […] Les artifices du démon sont bien représentés par les renards, le feu de la volupté par les flambeaux allumés, l’étendue du mal par le ravage immense de toute la moisson qui fut consumée, qui annonce le feu éternel.
Affecter la parure, c’est mal connoître la beauté, & ne pas ménager les intérêts de sa gloire. […] Il ne les blâme pas moins, & c’est mal servir son goût que de se les permettre.