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244. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142

Les coëffures des hommes & des femmes en sont couvertes ; mais la matiere, ne s’en perd pas, au lieu que la poudre se perd tous les jours, soit en tombant, soit en peignant les cheveux ; je suis persuadé que quelques jours, on verra des actrices toutes dorées, & la poudre d’or mêlée aux diamans.

245. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168

 3 : Telle qu’une Bergere aux plus beaux jours de fête, De superbes rubis ne pare point sa tête, Et sans mêler à l’or l’éclat des diamans, Cueille en un champ voisin ses plus beaux ornemens.

246. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

A la fin, à la vérité, le bon parti a le dessus ; mais ce n’est qu’après avoir donné à la vertu les plus rudes secousses, qui doivent infiniment plus l’ébranler dans un cœur, qu’un triomphe si tardif, si mêlé, si équivoque, ne peut jamais l’y affermir.

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