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38. (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292

A proprement parler, les Tragédies ne font que chatouiller, c’est là leur métier ; au lieu que dans les plaies désespérées, il faut enfoncer le fer et le feu, et c’est ce que font seuls les Ministres de l’Evangile. […] N’allez pas tousser au moins, Monsieur, comme si je passais à mon second point : je n’ai garde d’entreprendre sur le métier des Prédicateurs, quoique les Satiriques, au moins de certains, se croient tout permis.

39. (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453

Ils appréhendaient néanmoins la corruption des mœurs si dangereuse aux Républiques ; ce qui fit que leurs Philosophes blâmèrent cette occupation, et les Magistrats châtièrent ceux qui en faisaient le métier. […] Il faut leur refuser sans doute, s’ils ne donnent des marques visibles de leur repentir, et s’ils ne quittent effectivement ce damnable métier, que les Saints Canons4. quest. 1. c. 1.

40. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-4

Racine, alors peû dévot, ne pensoit pas qu’en faisant briller son talent, il faisoit le procès à son métier & au théatre, auquel il devoit toute sa gloire.

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