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301. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IX. Sentiments de Saint Augustin sur les Spectacles. » pp. 180-198

Augustin se reproche d’avoir lu, n’est-il pas le plus chaste des Poètes ?

302. (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28

En résumé, nous appelons l’attention du lecteur sur les points suivants, qui sont la conséquence naturelle de ce qu’il vient de lire.

303. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

On vient de lui lire des vers qu’il a trouvés mauvais ; il le fait entendre avec ménagement ; il le dit enfin avec pleine franchise : ses amis lui reprochent sa sincérité ; c’est alors qu’il devient extrême. […] Rousseau ne peut se refuser : voici ce que je viens de lire. […] Arracher ce consentement tacite, c’est user de toute la violence permise en amour : le lire dans les yeux, le voir dans les manières malgré le refus de la bouche, c’est l’art de celui qui sait aimer : s’il achève alors d’être heureux, il n’est pas brutal, il est honnête. […] En vérité, plus j’y pense, moins je conçois que vous ayez écrit sérieusement tout ce que je viens de lire.

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