Les convulsions politiques ne sont pas les seules causes de la désertion des Lettres et des Arts.
Rome connoissoit à fond les ouvrages des Grecs ; elle instruisoit la jeunesse dans leurs seules Lettres : cet usage ne retarda pas moins les progrès de la Langue Latine, que la coûtume d’employer celle-ci dans nos actes publics, n’a été funeste au François.
LETTRE A MLLE.