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301. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32

Elle ne donne pas une idée plus avantageuse du reste de sa vie dans deux lettres qu'on lui fait écrire à son amant, et par lui précieusement conservées. […] La première héroïde est une lettre de l'Abbé de Rancé à un ami. […]  » Il a porté la témérité jusqu'à y joindre des estampes indécentes, bien dignes du burin licencieux qui a gravé les infamies de Zélis au bain ; on y représente un amour se jouant avec l'Abbé de Rancé dans sa cellule, pour faire entendre que malgré toute sa réforme, son cœur se livre toujours au plaisir : « Serpentes avibus geminantur tigribus agni. » Autre héroïde aussi peu décente : Lettre du Comte de Comminge à sa mère, suivie d'une épître de Philomène à Progné.

302. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE V. » pp. 82-97

LETTRE V.

303. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [O] » pp. 436-440

Il veut ensuite qu’on enseigne à cet Acteur, la Musique, l’Histoire, & je ne sais combien d’autres choses, capables de faire le nom d’hommes de Lettres à celui qui les aurait apprises.

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