Elle ne donne pas une idée plus avantageuse du reste de sa vie dans deux lettres qu'on lui fait écrire à son amant, et par lui précieusement conservées. […] La première héroïde est une lettre de l'Abbé de Rancé à un ami. […] » Il a porté la témérité jusqu'à y joindre des estampes indécentes, bien dignes du burin licencieux qui a gravé les infamies de Zélis au bain ; on y représente un amour se jouant avec l'Abbé de Rancé dans sa cellule, pour faire entendre que malgré toute sa réforme, son cœur se livre toujours au plaisir : « Serpentes avibus geminantur tigribus agni. » Autre héroïde aussi peu décente : Lettre du Comte de Comminge à sa mère, suivie d'une épître de Philomène à Progné.
LETTRE V.
Il veut ensuite qu’on enseigne à cet Acteur, la Musique, l’Histoire, & je ne sais combien d’autres choses, capables de faire le nom d’hommes de Lettres à celui qui les aurait apprises.