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263. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110

L’on y voit condamner les actes vicieux, Malgré les vains efforts d’une injuste puissance L’on y voit à la fin triompher l’nnocence, Et luire en sa faveur la justice des cieux.

264. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132

Il a des titres bisarres & des idées singulieres : rayons du soleil de justice, bouquet de fleurs célestes, discours sentencieux, selon le goût du temps : du reste rempli de piété, morale solide, connoissance de l’Ecriture sainte.

265. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE III. Immodestie des Actrices. » pp. 57-84

Mais s’aveugler jusqu’à méconnoître & justifier sa malice, s’en faire un trophée, blasphemer la sainteté de Dieu qui le condamne, sa justice qui le punit, se préparer la liberté de pécher sans remords, applanir aux autres la toute du crime, les y engager, en vouloir faire disparoître l’horreur, s’en déclarer l’apologiste, c’est une malice consommée, c’est un péché contre le Saint Esprit qui ne se pardonne pas, c’est le péché d’un Auteur, d’un Acteur, d’un amateur du théatre, qui contre toutes les loix, contre ses lumieres, contre son expérience, commet, fait commettre, a l’impudence de vouloir justifier un péché dont tout lui démontre & dont il connoît lui-même l’énormité : Tergens es suum, dicit, quid feci ?

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