C’est une regle courte, & facile pour juger de la décence des tableaux.
Elles lui passent pour folies, et il ne les peut comprendre, parce que c'est par une lumière spirituelle qu'on en doit juger. » Rom.
Lorsqu’après avoir examiné un très grand nombre de Comédies pour pouvoir juger s’il y a du mal, il ose déclarer qu’il n’y a « rien qu’on ne doive approuver, rien d’indécent ni de déshonnête qui puisse blesser en quelque manière la pureté des mœurs », page 41 « et qu’on n’en imprime aucune, où l’on puisse trouver une équivoque, ni la moindre parole sous laquelle on pût cacher du poison », page 44.