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141. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123

Cette discussion ne nous sera pas inutile, puisqu’elle nous fournira des principes pour juger des pièces comiques, et en général de tous les discours qui font rire.

142. (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171

Nous vivons aussi sans appréhension par la grâce que sa bonté nous a faite, et jugeons de la félicité qui nous attend par l’assurance qu’il nous en a donné lui-même en conversant parmi nous.

143. (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « letter » pp. 3-26

J’ai jugé pour la gloire de la vérité, pour la confusion des menteurs, pour l’honneur de notre ville, et le vôtre particulier (pour qui cette action a été dresséef) qu’il faut donner un coup de corne en la bouche de cet homme menteur, et faire connaître au monde le fait comme il s’est passé. […] Pour moi, je les connais assez, ce me semble, et en suite de cette connaissance je jugerais que jamais telle convoitise ne leur est venue en pensée, non plus que jamais ils n’ont retiré un seul liard de celui qui représentait Jésus-Christ, que néanmoins ce calomniateur dit avoir plus payé que tous les autres. […] Cette doctrine, jugée hérétique par l’Eglise chrétienne, est ici évoquée pour dénoncer l’erreur de l’auteur du Récit.

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