« On14 fait (dit-il) quelquefois dans les Eglises des jeux de Théâtre, où non seulement paraissent des personnes masquées et travesties (ce qui est monstrueux) mais les Ecclésiastiques même prennent part à ces folies. Nous vous enjoignons (ajoute-t-il plus bas) de détruire et d’arracher cette mauvaise coutume, qui est un véritable abus, afin que la sainteté des Eglises ne soit point violée par ces jeux profanes et indécents. » Mais il n’y a point de preuve plus puissante pour établir cette vérité, qu’on pèche grièvement lorsqu’on danse dans quelque lieu Saint ; que ce qui est marqué dans un Canon de ceux qu’on nomme Pénitentiaux, qui condamne à trois ans de pénitence, celui qui aurait commis cette irrévérence, que de danser seulement devant l’Eglise.
Les grands Magistrats donnaient des jeux au peuple : libéralité dont l’usage fit enfin une loi, et qui allait à des sommes immenses. […] Les jeux publics étaient chez eux des actes de religion que leur superstition leur rendait aussi nécessaires que la sainteté de notre morale nous les fait regarder comme dangereux ; car pour les pièces dramatiques qui n’étaient que de pur amusement, elles furent toujours, comme remarque Tertullien, blâmées par les Censeurs et par le Sénat. […] L’ivresse du peuple pour ces jeux a rendu tous leurs efforts inutiles.
Cette dernière était composée de tout ce qu’il y avait de mieux à Paris, où les petits soupers étaient alors en vogue ; on venait faire la digestion aux jeux de nuit de Nicolet. […] [NDA] Ouvrage d’un comique propre aux jeux de nuit. […] [NDA] Ouvrage d’un comique propre aux jeux de nuit. […] [NDA] Ouvrage d’un comique propre aux jeux de nuit. […] [NDA] Ouvrage d’un comique propre aux jeux de nuit.