La fête imprime de même au péché un nouveau degré d’énormité ; les seules distractions volontaires pendant la messe sont des péchés ; un péché plus volontaire encore est bien plus condamnable qu’une simple distraction.
Dans les Vies des Pères, des Martyrs, etc. traduites de l'Anglais, imprimées à Villefranche (Tom.
Idée que Mr. l’Abbé Fleury a donnée de la Comédie dans Les Mœurs des Chrétiens, imprimés en 1682.