On ajoute enfin, que si de pareilles Piéces étoient si condamnables, il seroit bien étonnant que l’on eût un Recueil des Comédies de Térence, de l’impression du Vatican.
L’auteur Russe est fort mécontant des comédiens, qui, en réfusant de jouer les pieces, l’ont forcé de se faire justice par l’impression.
Parfait, la suite jusqu’à nos jours en fourniroit aisément quinze autres, si la honte de voir au grand jour de l’impression les folies de tant de personnes vivantes, n’avoit fait prier les Auteurs de discontinuer leur ouvrage.