Mes attachemens au monde, de quelque nature que vous les puissiez imaginer, sont rompus & même brisés.
poussait sa pensée bien plus avant, il s’imaginait que partout il y avait de la Musique ; mais qu’elle n’était entendue que des oreilles savantes : A son dire, tout ce monde n’était qu’un grand corps plein de vie, tout ce que nous voyons en étaient les membres, et l’esprit qui l’animait n’était qu’une grande âme harmonieuse, qui tenait toutes les parties dans le ton et dans la mesure, qui lui était propre ; et pour donner plus de fondement à son opinion, il ajoutait, que chaque chose en particulier faisait sa petite Musique, laquelle était subordonnée à la Musique générale de tout l’Univers. […] Quelque« Phantasmata, umbræ, imagines quæ cito pereunt, et solvuntur. » D. […] « Phantasmata, umbræ, imagines quæ cito pereunt, et solvuntur. » D.
Qu’on imagine, s’il est possible, les équipages, la toilette, la garderobe, la cuisine, les valets, les femmes de chambre de plus de cent Dames de la Cour, & de leurs amans qui les suivent.