Cette passion, d’intelligence avec le cœur humain, est trop dangereuse pour tout le monde, trop brillante pour les femmes, trop du goût de celles qui fréquentent la comédie, pour être jamais redoutée. […] De là quelle chaîne de respect humain, quel poids de l’habitude, quel torrent de la mode !
Le premier caractère du beau considéré par rapport à ses effets sur le cœur humain, seroit-il la nouveauté ?
D… mais si une imagination forte, qui l’entraîne dans ses compositions, l’a jetté dans quelques écarts, il rougiroit sans doute lui-même qu’on préconisât jusqu’à ces tristes marques de la foiblesse humaine.