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110. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7

Aristote, dont le prodigieux sçavoir embrassa toutes les connaissances humaines, ne dédaigna pas d’instruire ceux qui voudraient marcher sur les traces de Sophocle & d’Aristophane ; l’ouvrage qu’il composa à ce sujet est aussi célébre que ses plus sublimes écrits.

111. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96

 , qu’elles tiennent dans la vie humaine le même rang que le sel dans nos nourritures ordinaires, non seulement la dissertation n’y sera pas appuyée, mais encore elle y sera condamnée en tous ses chefs.

112. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228

Ils s’y montrèrent sublimes dans toutes les grandes expressions, dans ces tableaux frappants des infortunes humaines, dans ces actions terribles et déchirantes qui arrachent le cœur, ainsi que dans la représentation des sentiments les plus tendres, que nos actrices expriment avec une perfection et un charme, dont on peut à peine se faire une idée.

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