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682. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IX. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques n'étaient point infâmes parmi les Romains, mais seulement les Histrions ou Bateleurs. » pp. 188-216

Aussi dans la suite, l'Auteur ajoute que ni la Noblesse, ni l'âge, ni la Magistrature n'empêcha personne de pratiquer à son exemple l'art d'Histrion, avec des gesticulations efféminées, indignes des hommes ; et tous les Auteurs qui ont blâmé Néron d'avoir monté sur le Théâtre, ne lui reprochent point d'avoir récité des Tragédies et des Comédies, mais d'avoir joué des Instruments et bouffonné sur la Scène, ce que Tacite « Ludicro Juvenalium Theatro sub Nerone mox Mimos actitavit. » Tacit. l. 5.

683. (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479

Mais on peut appeler conversion le changement de sa condition puisque d’une vie de théâtre et qui tous les jours est en spectacle et en danger, elle se met à l’ombre d’un voile, pour se cacher dans le secret de la face de Dieu et y éviter le trouble des hommes et la contradiction des langues.

684. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35

Et cette croyance du peuple fut, à mon avis, une suite des Apothéoses ; car ayant mis des hommes au rang des Dieux, il était bien raisonnable de diviniser toutes leurs actions, et d'honorer par un culte de Religion toutes les choses que ceux qu'ils adoraient, avaient aiméesStat.

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