Mais qui donne à entendre que le mensonge n’est qu’une tache légère, qui n’empêche pas d’être un héros.
Plusieurs de ses traducteurs ne l’ont que trop fidellement copié, entr’autres Thomas Corneille, un des héros de la scene, qui, dans sa licencieuse traduction en vers des métamorphoses d’Ovides, a répandu sans pudeur, une infinité d’estampes, la plupart aussi licencieuses. […] Rien de plus commun sur la scene, ils sont les héros de plusieurs piéces, & le sujet des tableaux.
Qu’ils sont donc grands les Héros & Héroïnes du théatre !