Grâce et bénédiction à tous ceux qui tâcheront à remédier à tel mal, chacun selon son pouvoir1 ».
Ils peignent les vices avec le cortège des grâces, avec tous les pièges des sentiments délicats, et avec tout le venin de l’enchantement.
On aurait dû, ce me semble, innocenter les conducteurs de chariots dans le Cirque : on ne leur fit point de grâce ; et dans un concile d’Elvire, qui se tint en 305, il est ordonné qu’ils quitteront cette infâme et dangereuse profession, s’ils ont dessein d’embrasser la foi, et, s’ils retournent à leur premier métier après avoir reçu le baptême, ils seront chassés du sein de l’Eglise.