Les idées qu’on attache aux mots d’une langue, étant fondées sur une convention générale entre une ou plusieurs nations, il est visible qu’on ne peut y donner atteinte, sans jetter ces peuples dans une confusion dangéreuse & presque sans reméde.
D’ailleurs, une chose qui ne plaît qu’aux gens de l’Art, n’a pas un mérite général.
Comment concilier ces deux passages, si ce n’est en disant, que lorsqu’il l’excuse, ou si l’on veut, qu’il l’approuve, il le regarde selon une idée générale abstraite et métaphysique : mais que lorsqu’il le considère naturellement de la manière dont on le pratique, il n’y a point d’opprobre dont il ne l’accable.