Embrasé de la concupiscence que le théatre a allumé, épris des objets que vous y avez vu, vous méprisez, vous insultez, vous maltraitez cette épouse simple & modeste, non qu’elle l’ait mérité, mais parce que vous ne voyez votre maison qu’avec dégoût, que vous ne soupirez qu’après ces objets criminels ; le son de leur voix retentit encore à vos oreilles, leurs traits, leurs graces, leurs attitudes sont encore gravés dans votre cœur ; à plus forte raison avec quelle répugnance venez-vous à l’Eglise, avec quel ennui entendez-vous la parole de Dieu, sur-tout si on vous parle de modestie & de pureté ?
A Montauban trois ans avant sa prise, il se joua une histoire par les Clercs de la ville, qui avait été tirée du vieux Testament appelée l’Assyrien de Perse, où étaient contenus plusieurs beaux incidents trop longs à déduire, le Sieur Charnier un des plus doctes de son temps, et qui a fort écrit, fit l’avant-propos de ce poème.
Ad un corsiero sperimentato più volte troppo libero, e sboccato, fa di mestiere un gagliardo freno, e un forte cavezzone. […] Non basta sempre un forte muro, e un grosso terrapieno per la difesa di una piazza, quando la batteria si fa con grossi, e rinforzati cannoni. […] » L ’uomo forte non si assicura di mirare la belt à femminile, e verginale; e come dunque il debole si potrà assicurare ? […] Onde con ragione L ’Ecclesiastico avverte. « Ne respicias Mulierem multivolam; ne forte incidas in laquos illius. […] » Dunque ogni forte, e virtuoso cristiano si astenga dal mirar vanamente la beltà femminile, per non correre il pericolo di peccare gravemente.