/ 312
206. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301

Franc-homme a le langage d’un brutal ; il trompe une veuve, il en débauche le fils et le révolte contre sa mère. […] Laissant donc à part cette circonstance ; Valentin est un homme perdu de vices, un prodigue, un débauché, un impie, un mauvais cœur, un fils dénaturé.

207. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155

Les femmes Romaines recommandaient à leurs maris et à leurs fils, de se faire rapporter sur leurs boucliers. […] Un La Chaussée ne s’honorerait-il pas d’avoir fait Cénie, un Fontenelle, un Crébillon fils, d’avoir fait Les Lettres Péruviennes ej ?

208. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187

Edouard son successeur, fils d’une troisieme femme, revêtu comme lui de la Papauté, confirma par son autorité royale & pontificale la derniere délaration de son pere. […] Ce Prince, quatrieme fils d’Henri II & de Cathérine de Medicis, ne s’est présenté à Londres qu’en qualité de mari. […] Cependant après la mort de Penot & de son fils, qui lui survécut peu, elle eut la bassesse & l’injustice de faire revivre le jugement de ces coquins, pour s’emparer de ses biens, qui étoient considérables.

/ 312