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77. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40

 5 ; quæ manus obscenas depinxit prima tabellas, & posuit chartâ turpia vita domo, illa puellarum ingenuos corrupit ocellos nequitiæque suæ noluit esse rudes ; un autre poëte, picta est ô juvenis quam cernis virgo, sed acres hisce oculis flammas ejaculatur amor.

78. (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877

[NDA] Sap. 15. « Æstimaverunt esse ludum vitam nostram.

79. (1639) Instruction chrétienne pp. -132

Augustin au second livre de la Cité de Dieu reproche aux Romains, que se servant ès Théâtres de ces gens comme Ministres de leurs Dieux, et comme de sacrificateurs, puisqu’ils leur consacraient ces jeux ; « Quiconque, disait-il, des citoyens Romains avait choisi d’être joueur de comédies et tragédies, [esse scenicus,] il était non seulement exclu de tout honneur, mais aussi étant notébx par le censeur, il n’avait plus de rang en sa tribu. » Après avoir loué cette loi, il ajoute,  « Mais qu’on me réponde, pourquoi telles gens sont exclus de tous honneurs et cependant leurs jeux sont mêlés avec le service des Dieux ? […] Citation tronquée d’un article du droit canonique : « Neque illum qui in scena lusisse dignoscitur clericum esse ordinandum » (« Celui dont on sait qu’il a joué sur scène ne doit pas être ordonné clerc »).

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