Les volages amateurs du monde qui ne vivent que de la vie des sens, et n’ont des yeux qu’à la tête le verront alors tel qu’il est, mais pour leur confusion et leur désespoir éternel, présentement ils substituent ses créatures en sa place, ils y cherchent cet agrément, cette joie, cette paix, ce repos qui ne se trouvent qu’en lui seul ils prétendent fixer leur mobilité, en un mot, ils ne conçoivent point d’autre réalité que celle d’une figure qui passe, et ils y rapportent tout comme à leur dernière fin ; quel abus, quelle impiété !
Les écrivains qu’ils soudoient, ne font que déraisonner, que balbutier, et tous s’accordent à aboyer après des mesures inquisitoriales, comme étant leurs dernières ressources.
La quatrième et dernière partie de l’Ouvrage de del Monaco, se réduit à trois remèdes qu’il propose contre les maux causés par la Comédie.