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241. (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82

Vouloir les détruire est une entreprise aussi téméraire qu’extravagante. […] Cet exemple terrible ne suffiroit-il pas pour détruire l’impression momentanée, qu’auroit pû produire sur quelques spectateurs, cette fausse grandeur dont il fait une vaine parade, tandis que le fruit qu’on peut recueillir du châtiment affreux d’un monstre accablé & couvert d’ignominie, subsisteroit dans toute sa force ?

242. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140

La licence y est ordonnée & autorisée, la bonne morale est proscrite, on détruit même le goût, en excluant les regles, pour faire régner le désordre.

243. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128

Aussi n’adresse-t-il son ouvrage qu’au petit nombre de personnes qui savent unir le délassement avec la religion, & savent que beaucoup de préjugés donc on croyoit ne pouvoir revenir, ont été détruits dans la suite.

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