Nous ne parlons de cet impie ; aussi odieux que ridicule, que pour faire sentir, par un si grand exemple, combien l’amour du théatre dont ce prince fut enivré, pervertit jusqu’aux ecclésiastiques ; jusqu’aux souverains, & les précipite dans les plus grands désordres, malgré les bonnes qualités qu’ils peuvent avoir.
Dion, nous apprend que Auguste César voyant du désordre aux Jeux d’un Pilade, s’en courrouça, il lui fit response, « Il t’est nécessaire, ô César, que j’amuse le peuple.
Qui vit jamais un pareil désordre ?