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585. (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127

Les Poètes estimaient être chose indigne, croire que ceux là fussent dieux, lesquels ils savaient bien avoir été hommes mortels :Diod. […] Crois que c’est Jupin en ce lieu, Et le tiens pour souverain DieuCeci est de Cic[éron] au 2.

586. (1825) Encore des comédiens et du clergé « NOTICE SUR LE MINISTERE FRANÇAIS EN 1825. » pp. 87-100

Les pouvoirs qui ont consenti malgré elles à ces dépenses, croient s’être acquittés envers la nation, par des réclamations impuissantes : mais toujours ils finissent par donner un assentiment, en quelque sorte stupide, à des guerres injustes ou du moins sans un résultat heureux, telles que la guerre d’Espagne ; ainsi qu’à des dilapidations criminelles et ruineuses pour l’Etat.

587. (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435

Ces Peuples idolâtres et superstitieux jusqu’à l’excès, crurent qu’en représentant ces jeux en l’honneur de leurs fausses Divinités, cela les appaiserait, et ferait cesser le fléau.

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