Les Poètes estimaient être chose indigne, croire que ceux là fussent dieux, lesquels ils savaient bien avoir été hommes mortels :Diod. […] Crois que c’est Jupin en ce lieu, Et le tiens pour souverain DieuCeci est de Cic[éron] au 2.
Les pouvoirs qui ont consenti malgré elles à ces dépenses, croient s’être acquittés envers la nation, par des réclamations impuissantes : mais toujours ils finissent par donner un assentiment, en quelque sorte stupide, à des guerres injustes ou du moins sans un résultat heureux, telles que la guerre d’Espagne ; ainsi qu’à des dilapidations criminelles et ruineuses pour l’Etat.
Ces Peuples idolâtres et superstitieux jusqu’à l’excès, crurent qu’en représentant ces jeux en l’honneur de leurs fausses Divinités, cela les appaiserait, et ferait cesser le fléau.