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394. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE IV. Pieces singulieres. » pp. 107-153

Il a pris le ton du siecle, & a cru attirer plus de vogue à son Ouvrage en le théâtrisant pour ainsi dire ; mais il n’avoit pas besoin de ce nouveau degré de gloire. […] Depuis sa promulgation on ne peut se sauver sans croire les vérités qu’il enseigne, & accomplir les loix qu’il prescrit. […] Cette antithese est absurde ; mais on veut faire croire, en l’appellant honête, que l’action qui est punie comme un crime, est légitime & louable. 4°.  […] Le Poëte, qui a bien prévu qu’on ne l’en croiroit pas, s’est ménagé une ressource, & a prononcé un arrêt : Si cela n’est pas cela doit être. […] Ils se sont trompés, si l’on veut ; aucun d’eux ne se croit infaillible.

395. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dixième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 242-243

Parlez-moi de vos deux jeunes Compagnes : Monsieur D’Alzan croit que nous les aurons ici : je voudrais que vous me les fîssiez connaître d’avance.

396. (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE. De Racine à Despréaux, » pp. 83-84

Je vous supplie de croire, Monsieur, que personne n’est plus sincèrement à vous que votre très-humble & très-obéissant serviteur, Racine.

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