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261. (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386

Le célèbre Montaigne occupé à montrer l’existence d’un germe de méchanceté et de malfaisance dans le cœur de l’homme, un fond de cruauté et de barbarie, cite en preuve l’empressement de la multitude à contempler les supplices horribles et dégoûtans que la justice décerne contre les malheureux, coupables de mort….

262. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89

On sent bien que je ne cherche pas à essuyer les yeux des actrices, qui plus coupables que personne, devroient faire de leurs yeux des ruisseaux de larmes, & n’en verseront jamais trop, jamais assez.

263. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137

Cet effet n’est pas naturel ; que dans tous les siecles, dans tous les pays du monde, un nombre infini d’hommes, sans exception, exhalent une mauvaise odeur, c’est une punition visible de l’horrible Déicide, dont ce peuple infortuné se rendit coupable ; & l’on remarque que si un Juif se convertit, cette odeur cesse au moment de son Baptême : Abluitur Judæus odor Baptismate Christi .

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