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344. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212

Un naturel plein de douceur & d’humanité rend très-probales les aumônes dont en parle, quoiqu’on assure qu’elles étoient cachées, & n’ont été connues qu’après sa mort, par les regrets de ceux qui perdoient ses secours ; mais il faut convenir que le refus de bonne heure des premieres dignités de l’Eglise a grand besoin d’être étayé du témoignage des deux Prélats.

345. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239

« Si tu veux que je ne méprise point tes fonctions, ni ton caractère, conviens avec moi que tous tes confrères sont des scélérats, que ton métier n’est qu’imposture, et que tu es en ce point le plus habile Profès de tout l’Ordre ; avoue-le moi : car je te dis, Prêtre, que je veux le savoir.

346. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 2-36

Les femmes ne sont pas guerrieres, il leur faut des couronnes de fleurs ou de Mirthe, le laurier ne leur convient guere, il doit grossiérement déranger leurs cheveux & leur coëffure.

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