Ces ministres enfin, auxquels il est défendu d’avoir une conscience particulière, hurlent d’effroi d’être contraints, mais bien malgré eux, d’introduire trop souvent dans leurs opérations gouvernementales, une infâme morale astucieuse et machiavélique.
Les amateurs du théâtre n’en approchent guère davantage ; je m’en rapporte à leur conscience : qui pourrait soutenir l’assemblage monstrueux de la comédie avec la sainte table !
Les Protestans lui sont redevables d’une liberté de conscience qui dureroit encore, si Louis XIV eut pensé comme son grand-père. […] Jamais Charles ne changea de religion ; il donna la liberté de conscience, & Henri l’Edit de Nantes, après avoir fait toute sa vie la guerre de religion.