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193. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86

Ces ministres enfin, auxquels il est défendu d’avoir une conscience particulière, hurlent d’effroi d’être contraints, mais bien malgré eux, d’introduire trop souvent dans leurs opérations gouvernementales, une infâme morale astucieuse et machiavélique.

194. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179

Les amateurs du théâtre n’en approchent guère davantage ; je m’en rapporte à leur conscience : qui pourrait soutenir l’assemblage monstrueux de la comédie avec la sainte table !

195. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168

Les Protestans lui sont redevables d’une liberté de conscience qui dureroit encore, si Louis XIV eut pensé comme son grand-père. […] Jamais Charles ne changea de religion ; il donna la liberté de conscience, & Henri l’Edit de Nantes, après avoir fait toute sa vie la guerre de religion.

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