En effet, on persiffle Mondor, qui le mérite, & dont le personnage est odieux pour plus d’une raison ; & l’on ne condamne dans d’Ormilli que sa jalousie : sa ridicule vivacité, ce vice de caractère qui rend les hommes d’un commerce difficile, souvent insupportable, loin de lui nuire, lui donne un air plus piquant.
Son Arrêt du 22 Avril 1761, qui condamne l’Ouvrage du sieur Huerne de la Mothe, en faveur de la Comédie, 115 & 473. […] Raisons qui condamnent les Théatres, a, 440.
C’est renouveller la fête des foux, toujours condamnée par l’Eglise, & enfin abolie, dont le théatre faisoit les plus grands désordres. […] Il porte l’aveuglement jusqu’à ne pas sentir qu’il se condamne lui-même, dans l’idée qu’il donne des spectacles.