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379. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99

En effet, on persiffle Mondor, qui le mérite, & dont le personnage est odieux pour plus d’une raison ; & l’on ne condamne dans d’Ormilli que sa jalousie : sa ridicule vivacité, ce vice de caractère qui rend les hommes d’un commerce difficile, souvent insupportable, loin de lui nuire, lui donne un air plus piquant.

380. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614

Son Arrêt du 22 Avril 1761, qui condamne l’Ouvrage du sieur Huerne de la Mothe, en faveur de la Comédie, 115 & 473. […] Raisons qui condamnent les Théatres, a, 440.

381. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suites des Mélanges. » pp. 68-117

C’est renouveller la fête des foux, toujours condamnée par l’Eglise, & enfin abolie, dont le théatre faisoit les plus grands désordres. […] Il porte l’aveuglement jusqu’à ne pas sentir qu’il se condamne lui-même, dans l’idée qu’il donne des spectacles.

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