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361. (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167

Il ne s’agit pas du plus ou du moins de talent de l’acteur, mais bien de la nature de sa profession, puisqu’on attaque le vieux préjugé qui flétrissait l’état de comédien. […] Non, sans doute, puisqu’encore une fois, l’auteur n’a voulu que démontrer l’injustice de l’ancien préjugé qui flétrissait l’état de comédien. […] Ainsi, était-il déraisonnable d’accorder autrefois moins d’estime à la profession de comédien qu’à tout autre profession ? […] Certes, c’était une bien sage disposition que celle des novelles, au titre de episcopis aud, qui défendait aux comédiens de paraître sur le théâtre en habit ecclésiastique ou religieux. […] NDA Il y a, ce me semble, de l’ingratitude aux comédiens du vaudeville, d’avoir voué à un si triste abandon, les productions des fondateurs de leur nouveau théâtre.

362. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39

Je ne saurais m’empêcher de vous dire, que j’ai trouvé votre jugement sur nos Comédiens, trop rigoureux ou trop général.

363. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE I. Condamnation de la Comédie par la sainte Ecriture, par les Conciles et par plusieurs raisons. » pp. 7-11

En effet, Rome n’a jamais été si sage, si sérieuse, et si tempérante, que durant les premiers siècles, où elle n’avait pas encore de Comédiens.

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