/ 582
367. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVII.  » pp. 486-488

 » « J'ai trouvé vos paroles, et je m'en suis nourri, et elles ont rempli mon cœur de joie et d'allégresse.

368. (1675) Traité de la comédie « XXVII.  » pp. 318-320

 » « J'ai trouvé vos paroles, et je m'en suis nourri, et elles ont rempli mon cœur de joie et d'allégresse.

369. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129

Au contraire il les enseigne, les inspire, les fomente ; il corrompt l’esprit et le cœur, ce qui fait à l’Etat des plaies profondes. […]  7.) parle au long des spectacles, de la poésie, de la musique et de la danse, et condamne absolument le théâtre, comme contraire au bien de la République, gâtant l’esprit, corrompant le cœur, pervertissant la jeunesse, excitant toutes les passions qu’il devait réprimer, portant au mensonge, à l’oisiveté, à la frivolité, à la mollesse, et ce n’est pas même à raison des grossièretés, que ce Philosophe ne soupçonne pas qu’on y tolère. […] Les attraits de la passion, le goût du vice, le langage du péché, les mouvements du cœur, les nudités, les attitudes séduisantes, la magie de la décoration et des parures, les pièges de la coquetterie, les agaceries, la vénalité des Actrices, les adresses de l’hypocrisie, les artifices de la fourberie, etc. toutes ces batteries de l’enfer sont autant et plus que jamais dressées au théâtre. […] Quelques-uns disent que ce qu’on entend à l’Opéra entre par une oreille et sort par l’autre ; mais ils oublient que le cœur est entre deux, et au sortir du spectacle on est moins en état de résister aux occasions dangereuses qu’en sortant du sermon. » On ne peut pas douter qu’elle n’eût été souvent au spectacle.

/ 582