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209. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239

Oui, la Religion est la base du Gouvernement même politique : sans elle, l’homme est un mauvais sujet, un fâcheux citoyen ; ou plutôt, ce n’est pas un homme.

210. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Dans cette même réponse, il nous représente comme une nation, dans laquelle les Citoyens sont rares, les amis inconstans, les Peres injustes, les enfans durs, les femmes fourbes & infidéles, c’est-à-dire une nation corrompue, & c’est pour ces raisons, qu’il prétend, qu’il nous faut d’autres plaisirs, que ceux du chaste amour ; & il dit au même endroit, qu’il est persuadé, que chez une nation corrompue, le Théatre est un nouveau moyen de corruption ? […] En conséquence, bien loin d’imiter le généreux Romain (Quintius Capitolius), qui disoit à ses Citoyens… j’ai grande envie de vous plaire ; mais dussai-je encourir la rigueur de vos censures, j’aime mieux sauver vos mœurs.

211. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 2-36

Des admirateurs si zélés, des citoyens si riches, des enfans si respectueux & si tendres, des éleves si généreux devoient-ils vanter d’avance leur reconnoissance reconnoissance, & quêter si bassement de quoi élever un monument si bien mérité ?

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