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487. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

Mais dans tous ces trois cas, est-il permis à des chrétiens, d’épouser la femme de leur frere, & du meurtrier de leur Roi ?

488. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 68-96

Que vous êtes différentes des anciennes Subines, (nous disons des véritables Chrétiennes,) elles avoient plus de soins de cultiver leur champs que d’enluminer leurs joues ; avec leur tein naturellement vif, & haut en couleur, elles coupoient le bois nécessaire à leur feu, elles enfermoient les brebis que leurs filles venoient de garder, & assises sur un escabeau leurs doigts grossiers filoient le reste du jour : Cum matrona premens actum rubicunda sedite, assiduo durum pollice nebat opus.

489. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175

Je ne doit pas les prévenir ; (Le Chrétien le prévient par la pénitence & les bonnes œuvres : mais l’impie, comme dit le Sage,) Entre les bras de la mollesse, J’attendrai la mort sans terreur.

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