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194. (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38

On y chanterait sans cesse, sans cesse on y répéterait à son honneur ces hymnes séditieux : « O liberté, aimable liberté, mère des plaisirs, unique source du parfait bonheur !

195. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112

Germain on en est quitte             Pour savoir chanter au lutrin :             Jamais Phebus ici n’habite,             C’est la demeure du chagrin,             Il n’est si triste compagnie             Que phantômes vêtus de noir,             Tels qu’ici le sort fait pleuvoir. […] Semblable au Cordonnier des fables de la Fontaine, qui en devenant riche, perdit toute sa gayeté, ne pouvoit plus chanter, se réjouir faire de bons souliers, & alla rendre à son bienfaiteur l’argent qu’il en avoit reçu, & se fit rendre sa liberté & sa joie, Corneille fit rapporter le bureau au Financier, se fit rendre sa verve avec sa table vermoulue.

196. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre [V].  » pp. 156-192

Tout l’Opéra ne chante que ces maximes, tous les théatres établissent ce privilege, & l’invitent à en jouir. […] Il ne prétend pas que les Saints soient couchés dans leur lit, où ils chantent & se rejouissent.

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