Le Tsar Pierre premier, assuré qu’ils parcourent les diverses contrées, s’attendait, dit-on, à les voir un jour dans son pays. […] Là on voit des pièces moins soignées, rapidement écrites, et dont les auteurs ont obtenu la représentation lucrative, sans avoir attendu des années… Alors mes jeunes gens perdent le sentiment du beau, du parfait.
« On peut donc dire à ceux qui se vantent que la Comédie & les Romans, (tout ce qui a été dit jusqu’à présent de l’une, peur s’appliquer aux autres,) n’excitent pas en eux la moindre mauvaise pensée, qu’ils attendent un peu, le diable saura bien prendre son tems, quand il en trouvera l’occasion favorable.
Or tout cela depend du devoir des Censeurs, attendu que les juges et autres officiers n'y prendront jamais garde.